Elle
s’appelait Boucherie Chevaline mais elle n’a pas supporté
l’épreuve du feu. Je l’ai reprise à l’huile après colmatage. Elle
s’appelle maintenant Le lierre d’Auvers, celui-là même qui
plonge ses racines dans la tombe de Vincent et Théo.
Mixte,
huile et autres sur bois 48x62
Détail où l'on voit qu'il est possible de mettre les doigts dans les plaies
Le cadavre de Boucherie Chevaline après l'épreuve du feu.
2 titres, l’un horizontal, le second vertical ou l’inverse si ça vous chante.
Technique mixe comme il faut dire, collage - découpage d’une affiche de 2015 du musée de Nantes reproduisant une peinture flamande du XVI de Frans Pourbus, l’affiche me faisait de l’œil derrière la vitrine d’une laverie - et encre sur papier toilé. Le cadre 100/40 faisant partie de cette œuvre baroque. (2025). J’ai fait ce que j’ai pu pour ne pas avoir trop de reflets sur les photos.